J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage.

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il y a 4 ans
J’ai un Maître attentionné, gentil, respectueux mais aussi entier. Entier dans le sens où, lorsqu’il s’engage, il va jusqu’au bout des promesses et quand il punit, c’est de la vraie punition. Pas du petit pan pan cul cul.

J’avais une folle envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage. Du sexe où je ne serai plus qu’un pantin de chair obligé de subir, de vivre des choses intenses. Comme je suis quand même un peu trop timide, je lui ai écrit ma folle envie. J’ai noté sur une feuille ce qui passait dans ma tête de détraquée mentale. Sur cette feuille j’ai osé écrire :

Maître,

Vous dites qu’une soumise doit tout dire à son Maître.

Alors voilà, j’ai envie de vivre au moins une fois du sexe intense, brutal, animal, sauvage. Que vous me bâtiez un peu, me gifliez et m’insultiez. Je rêve d’être votre chose encore plus qu’aujourd’hui.

Mon corps serait à vous pour tout, gorge profonde, sodomie si vous le voulez et surtout, si je pleure ou supplie, que vous ne m’écoutiez pas. Au contraire, si je résiste giflez-moi.

Votre soumise d’Amour

....................

Ce papier était dans le salon, posé sur la table avec une rose et son verre de Pastis avec une carafe d’eau fraîche. Je tremblais comme une feuille en attendant qu’il arrive. En attendant qu’il découvre mes envies de folie. Le pire est que je savais que si Maître acceptait, il ne ferait pas dans la dentelle. Accepterait-il, là était aussi la question que je me posais, il a horreur de se sentir dirigé. Il n’aime pas les souminateurs et souminatrices. Ce n’était donc pas gagné.

Lorsqu’il est arrivé, j’ai fait en sorte d’être dans la salle de bain, j’avais un peu trop honte de moi et d’avoir osé lui dévoiler ce fantasme. A mon arrivée dans le salon, il a simplement dit « 6 » en me désignant la table basse. Cela signifiait que je devais me mettre en position 6 sur la table. Au lieu de me parler, de m’embrasser, de me dire ses petits mots d’Amour comme à chaque fois qu’il arrive, il a bu son pastis en me regardant. Il s’est allumé une cigarette et m’a regardé en la fumant. Le silence devenait pesant, j’avais peur qu’il ait mal pris ma demande. Au bout d’un moment il m’a regardée avec ses yeux de carnassier toujours sans rien dire.

  • Tu sais que si j’accepte, j’irai au bout ?

  • Oui Maître !

  • As-tu bien conscience que tes cris, tes larmes ne m’arrêteront pas ?

  • Oui Maître !

  • Pourquoi te ferais-je ça ?

Ouf, la question qui tue ! Que répondre ? Lui dire que c’est parce que j’en avais envie ? Surtout pas ! Oui mais que répondre ?

  • Votre bain est prêt Maître !

  • Mauvaise réponse !

Il m’a donnée une gifle. Cette gifle signifiait-elle qu’il acceptait ? Attendait-il encore une réponse ?

  • Parce que vous m’avez dit qu’une soumise doit tout dire à son Maître. Alors j’ai décidé de vous écrire un de mes fantasmes.

  • Bonne réponse. Va chercher la Menottes double BDSM qu’on a achetées sur ABCplaisir, elle va servir.

  • Votre bain va être froid Maître ?

Il m’a redonnée une gifle en me disant qu’un pantin de chair ne discute pas. A ce moment là, je ne savais pas si c’était pour me punir de mon insolence, ou parce qu’il avait décidé de me faire plaisir et d’accéder à ma demande. A mon retour du donjon, il m’a ordonnée de me mettre nue et de mettre mes bras dans mon dos. Il a posé la Menotte double BDSM et la serrant un peu fortement. Bouger mes bras était impossible.

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Maître m’a attrapée par les cheveux pour me mettre à genoux devant lui. Il a ouvert sa braguette et a sorti son sexe encore mou en me disant « suce salope ». J’avais ma réponse, Maître allait me faire ce dont j’avais envie.

Sous prétexte que je suçais mal, il m’a donnée deux autres gifles, avant de me remettre son sexe dans la bouche. Tenue par les cheveux et plaquée contre son ventre, je ne pouvais que prendre sa verge entièrement dans ma bouche. Elle commençait à grossir et à atteindre le fond de ma gorge. Quand j’ai voulu me reculer un peu, j’ai eu droit à une autre gifle, des insultes et la promesse qu’il allait m’apprendre à me soumettre. Tirée par les cheveux, j’ai été conduite à la chambre où il m’a jetée sur le lit. Prestement attrapée et retournée, je me suis retrouvée la tête dans le vide au bord du lit. Quand sa verge a touché mes lèvres, j’ai ouvert la bouche même si je savais que cela allait être hard pour moi.

Il a commencé à faire gorge profonde, comme j’essayais de fuir quand il allait trop loin, il giflait mes seins ou me tordait les tétons pour me faire mal et m’obliger à faire un effort. Même ma chatte a été giflée quand, par deux fois, j’ai failli vomir. J’ai commencé à regretter ma demande, les fantasmes ne sont pas toujours aussi bien quand on les vit. Au bout d’un moment, j’ai réussi à décontracter ma gorge, à l’obliger à accepter. La bouche intégralement pleine de lui et avec ses testicules sur les yeux, j’ai commencé à me sentir le pantin de chair de mes délires.

« Bon, on va essayer ta chatte de salope » a crié mon Maître en « m’aidant » à me relever en me tirant par les cheveux comme une brute. Il s’est dévêtu totalement et s’est allongé sur le lit en me désigant sa verge tendue à rompre.

  • Assis-toi la dessus, tu verras Montmartre !

Dans mes fantasmes, ce n’était pas comme ça que je voyais les choses, mais je ne me suis pas aventurée à le lui dire, c’était trop risqué. Alors je l’ai enjambé, il a guidé son sexe entre mes lèvres et je me suis empalée lentement comme quand on fait l’amour.

  • Bouge tes fesses salope ! A crié mon Maître en giflant mes seins pour que je m’agite sur sa verge.

J’ai découvert un côté de la personnalité de mon Maître ce soir là. Il pouvait être cruel et sadique s’il le voulait. Et c’est ce que j’avais voulu dans ma folie. Mes seins et mes tétons prenaient « cher » malgré tous mes efforts, je ne pouvais me plaindre qu’à moi d’avoir joué un jeu dangereux.

Après m’avoir dit que « j’étais nulle au pieu », il m’a littéralement jetée sur le côté et bousculée pour que le lui présente « mon cul » comme une « chienne en chaleur ». Ce vocabulaire volontairement grossier m’a perturbée. Il me parle rarement comme ça même quand nous jouons. Là c’est du gras, vulgaire, limite agressif. En guise de lubrifiant, il a craché entre mes fesses, il a passé la ceinture de son pantalon devant mon cou et, sans prendre beaucoup de précaution, ma sodomisée. Ses propos gras et vulgaires n’ont pas changé, ma sodomie n’avait jamais été aussi rude.

J’ai commencé à craquer, à le supplier d’aller plus doucement, sa réponse a été « prends ça salope » en me donnant une gigantesque claque sur les fesses. Perdue dans la douleur et un plaisir différent de nos câlins d’avant, j’ai vraiment eu ce que je voulais. J’étais devenue un pantin de chair qui ne peut rien refuser. J’étais moins qu’une pute qui peut refuser un client, je devais subir et me taire pour ne pas morfler. Je l’avais voulu, je l’avais ...... J’avais envie de sexe intense, brutal, animal, sauvage, j’étais servie.

Incapable de retenir mes larmes, à moitié étranglée par la ceinture j’ai perdu mon corps. Perdu mon corps qui d’un seul coup s’est mis à trembler, puis à convulser. J’ai fini par décoller, m’envoler et jouir comme jamais sous ses coups de butoir sauvages. Quand il m’a lâchée, je me suis écroulée la tête la première dans le lit. Maître m’a plantée là sans me retirer la Menotte double BDSM, mes yeux coulaient, mon nez aussi, mais mon corps était rassasié. Cela me faisait drôle d’avoir été le pantin de chair, cela avait été une expérience très forte.

Un quart d’heure plus tard, Maître est venu me retirer la Menotte double BDSM. Sans rien dire, il m’a prise dans ses bras et soulevée pour me conduire à la salle de bain. Il m’a déposée dans la baignoire qu’il avait en partie vidée pour pouvoir me rejoindre et se lover contre moi.

Et là, pour plaisanter il a changé sa voix pour me dire : « alors heureuse » ?

Heu, que répondre ? Oui parce que j’avais vécu ce que j’avais voulu, quelque chose de très + très fort mais un peu douloureux quand même. Quand il m’a demandée si j’aimerai recommencer, après quelques instants de réflexion, la « traumatisée du bulbe » lui a répondu « oui mais pas tout de suite ».

Comme indiqué au départ, Maître est ultra respectueux, je dirai même très « aimant », mais j’avoue que j’ai quand même bien aimé, qu’il fasse le Brutus et comme s’il ne m’aimait pas pendant cette soirée. Quand on sait que c’est du jeu, ce type de rapport est quand même « hot » et bien bon.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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